
L’eau la plus importante et qui devrait être sacrée, c’est bien l’eau que nous buvons. Que savons nous de cette eau dont nous sommes faits et qui conditionne toute notre santé et notre bien-être ?
Comment se fait-il que pendant les 7 années que durent les études médicales, il n’y ait pas un cours sur l’eau organique et sur les propriétés de l’eau de boisson? Pourtant les données scientifiques sont désormais disponibles et parfois depuis longtemps .
Il est vrai que souvent le corps médical dans son ensemble est plus soucieux et préoccupé d’étudier nos maladies plutôt que de nous aider à préserver notre santé.
Mais ils pourraient nous répondre que l’on a la médecine que l’on mérite.
Il est pourtant démontré que le fait de boire des eaux impropres à notre organisme participe activement à notre dégénérescence cellulaire et aux déclenchements de maladies.
Nous négligeons la qualité de l’eau de boisson, par ignorance mais surtout par manque d’information officielle “fiable” et surtout par la désinformation de groupes de pression dont la puissance publicitaire, commerciale et économique sont sans commune mesure avec les milieux mieux informés, praticiens naturopathes, homéopathes, réseaux de production et distribution BIO, écologistes et scientifiques avertis, que l’on dit “pudiquement” alternatifs.
En premier lieu il faut boire de l’eau la plus pure possible, l’eau nous est d’abord primordiale pour ce qu’elle “emporte” et non pour ce qu’elle nous “apporte”.
Il faut casser le mythe de l’eau qui nous permettrait de nous minéraliser grâce aux minéraux qu’elle contient. La qualité essentielle d’une eau pure c’est bien d’être dépourvue de minéraux.
C’est vrai que les minéraux sont indispensables à la vie, et qu’il faut consommer des aliments qui nous en apportent, mais les êtres humains et les animaux sont incapables de les assimiler tels quels, directement. Ils ne sont pas “biodisponibles”. Cette assimilation n’est possible qu’une fois transformés biologiquement par l’intermédiaire d’organismes dits “autotrophes”. Il s’agit des légumes, fruits, herbes, algues etc.... Ces végétaux transforment ces minéraux en s’appuyant sur la pré-transformation d’êtres primaires appelés “autotrophes” comme les bactéries présentes dans les sols dont la culture respecte un certain nombre de bonnes règles de culture ( ce qui n’est plus le cas actuellement sauf en agriculture biologique ).
C’est à cette condition que les minéraux deviennent des complexes organo-métalliques ou oligo-éléments et peuvent être assimilés par l’homme et les animaux qui eux sont “hétérotrophes”.
Les minéraux dissous dans les eaux de boisson ne sont que de vulgaires “cailloux bruts” et qui sont considérés par notre organisme comme étrangers. Ils sont amorphes, contraires à la vie et notre corps va tout faire pour s’en débarrasser dans la mesure de ses possibilités.
En tous cas, à la longue, c’est un des facteurs actifs dans la formation de calculs, de thromboses et de cancers.
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